Cette poésie d’inspiration mystique, de Serge Félix-Tchicaya puise dans la très longue tradition de l’universel. Elle s’est nourrie d’une influence des textes sacrés, pour dévoiler son incompressible soif du Douk’dak, dont est jaloux tout fils de Loango. Lequel ne peut ignorer aujourd’hui « … Cette histoire, celle des sœurs jumelles, dansant la nuit et le jour, sur le rivage d’un Loango vieilli, désabusé ; ne sachant que faire de son passé glorieux… ».
En effet, par le passé, « … À cette époque, le Loango s’enivrait quotidiennement de spiritueux, ce qui le rendait incapable de gérer ses richesses, enviées des habitants de la planète Mars… »
Cette quête spirituelle, héritière des Félix-Tchicaya, dont l’U’Tamsi de Diosso…, navigue à travers toutes les humanités pour nous dévoiler que « Le salut n’a pas de couleur ; il n’est ni juif, ni musulman, ni chrétien, ni kongo, ni… Il se pose sur celui qui ressemble à la verge de moshé. »
C’est un univers poétique d’un genre nouveau que Serge Félix-Tchicaya offre au lecteur avec quelques maximes en guise de morceaux choisis :
« Pourtant l’humain est au-dessus de toutes ces obédiences… »
« En effet, le monde changera le jour où les obédiences s’envoleront,… »
« Si la vertu, demain, est l’apanage des menteurs, le mensonge demeurera alors le porte-parole de la Vérité ! »
Mais il s’agit aussi des écrits, pour une renaissance, qui fondent souvent la grandeur des peuples, car « la résurrection du Loango empruntera le sentier qui jouxte le saint des saints afin de se délester de sa nature congolaise. »
Informations complémentaires
Date de parution | 15/12/15 |
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Format | 152 pages, Format 160×160 mm |
ISBN | 2-84220-091-6 |
Poids | 170 gr |
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